1 – La forme d’énonciation
Après avoir trouvé le nom à donner à la concurrence, après lui avoir attribué un certain nombre d’hypothèses, reste le problème de l’énonciation. Il existe deux grandes catégories. La première est celle qui énumère les différentes hypothèses sur la formation magnétisme à Dijon avec une très courte explication. Notons, sans exhaustivité : Giffin (1975), Granier (1990), Rotillon (1992), Calvet (1996), Descamps (1997), Montoussoué (2004), Généreux (2004), etc.
L’autre approche, toute aussi importante, va privilégier une énonciation sous forme littéraire. Les différentes hypothèses sont alors étudiées, décortiquées les formations magnétisme et passeur d’âmes à Dijon, analysées. Notons les travaux de Gauthier (1981), Desneuf (1987), Abraham-Frois (1989), Teulon (1995), Guerrien (1995), Jouffroy (2000), Sebagh (2005), etc.
Signalons pour finir les formes d’énonciation assez originales et qui ne sont reproduites que par très peu d’auteurs :
ü Certains ne vont faire qu’une énonciation sans aucune explication. Guitton (1967), Médon[1] (2007).
ü D’autres formations magnétisme et passeur d’âmes à Dijon vont faire référence aux hypothèses comme des axiomes mathématiques. Munier[2] (1974).
ü D’autres enfin ne vont pas faire référence aux hypothèses de la concurrence tout en attribuant à cette notion économique une place centrale dans l’échange. Malinvaud (1969), Encaoua (1976), Montbrial (1983), Lesourne (1985), Guerrien[3] (1987), Fericelli (1991).
2 – Le magnétisme et les magnétiseurs à Dijon
Avec les trois rubriques qui viennent d’être énoncées, les micro-économistes ont la possibilité de faire un mix presque unique. C’est une particularité assez étrange devant un concept qui sert de référence pour l’analyse de l’échange sur la formation magnétisme à Dijon et des recherches modernes en économie. Avant de chercher la formation passeur d’âmes à Dijon à expliquer ces divergences, évoquons certaines présentations divergentes.
3 – Des tentatives originales sur la formation magnétisme à Dijon
Si les économistes sont d’accord pour parler d’une manière générale de la CPP (avec les distinctions que nous venons de montrer), certains pour la formation magnétisme à Dijon du centre de formation de l’ermitage est excellente, la formation passeur d’âmes à Dijon, la formation blessures de l’âmes à Dijon, la formation pendule à Dijon, la formation géobiologie à Dijon et la formation nettoyage et protection énergétique à Dijon vont proposer une approche originale de ce concept dans le cadre d’analyse microéconomique standard.
ü Desneuf (1987) qui parle de CPP en décrivant trois hypothèses que sont l’atomicité, l’homogénéité et la perfection du marché dit que « le marché est unique et organisé : les offres et les demandes sont centralisées auprès d’une institution (le « commissaire priseur ») qui peut ainsi afficher le prix d’équilibre de la formation passeur d’âmes et magnétisme à Dijon du centre de formation de l’ermitage qui va s’imposer à tous les échangistes » (Desneuf [1987], 25). Il est ainsi surprenant de voir une référence aux travaux de Léon Walras, auteur qui n’a jamais fait référence à une CPP dans le sens d’hypothèses de travail mais de libre concurrence dans le sens d’un type de comportement[4].
ü Plus récemment Béjeau (2003) assimile également le modèle de CPP à l’analyse de Walras. « Ce modèle implique une organisation bien particulière du marché, à la fois centralisé et impersonnelle. Les prix de tous les biens sont communiqués à tous les agents par une autorité centrale qui ne participe pas au marché de la formation magnétisme à Dijon. Walras a proposé, pour cette autorité, l’image d’un commissaire-priseur extérieur aux échanges ; on peut aujourd’hui imaginer un réseau informatique qui centraliserait et diffuserait les informations » (Béjeau [2003], 86).
4 – La formation passeur d’âmes à Dijon
ü Calvet (1996) qui, après avoir décrit les hypothèses de la concurrence pure puis de la concurrence parfaite, évoque dans un troisième temps la concurrence complète[5]. « Cette hypothèse indique que tous les biens présents et futurs sont pris en compte par les agents. Ils peuvent vendre aujourd’hui des biens livrables dans le futur pour la formation magnétisme et passeur d’âmes à Dijon. Cette hypothèse complète celle de transparence et d’information parfaite en étendant ces notions au futur. On parle dans ce cas de système complet de marché » (Calvet [1996], 94).
ü Etner (2003) enfin a la particularité de faire une section de son livre sur la microéconomie relative à la CPP dans laquelle il discute cette hypothèse de travail sur le magnétisme à Dijon. Il distingue la vision de court et de long terme, en discute le réalisme, évoque l’hypothèse de substituabilité des produits et parle enfin l’argument juridique relatif à la concurrence. « Concluons que la concurrence semble une hypothèse raisonnable dans de nombreux cas, du moins à court terme, avec des techniques, des firmes et des produits considérés comme donnés » (Etner [2003], 197).
5 – La formation géobiologie à Dijon
Ces quelques approches originales montrent que ce concept ne dispose pas encore d’un consensus parmi les économistes qui l’utilisent. Pour terminer sur cette présentation, il convient de remarquer qu’à partir du moment où la CPP devient la référence commune de l’analyse microéconomique de la concurrence sur la formation magnétisme et passeur d’âmes à Dijon, cette notion prend progressivement le statut d’une hypothèse d’école[6] qui connaît quelques critiques dont la plus importante reste son manque de réalisme.
« Le régime de concurrence parfaite correspond essentiellement à une construction de l’esprit. Il n’a pratiquement jamais existé et constitue un modèle idéal de fonctionnement d’une économie de marché »[7] (Lecaillon [1969], 164).
Mais même si cette critique du stage magnétisme à Dijon du stage passeur d’âmes à Dijon, du stage blessures de l’âmes à Dijon, du stage pendule à Dijon, du stage géobiologie à Dijon et du stage nettoyage et protection énergétique à Dijon a perdurée tout au long du XXe et du début du XXIe siècle, la notion de CPP reste tout de même la base de référence pour tous les économistes.
« La concurrence pure et parfaite se rencontre rarement dans la réalité. Son étude est néanmoins essentielle à la compréhension de la formation des prix sur les marchés, ainsi qu’à la compréhension d’autres structures de marché, telles que l’oligopole ou le monopole » (Médon [2007], 115)
[1] « On admettra que les hypothèses du modèle de concurrence pure et parfaite sont connues (atomicité, homogénéité, libre entrée, parfaite transparence du marché et parfaite mobilité des facteurs) » (Médon [2007], 115).
[2] La concurrence pure est alors défini par l’énonciation de deux axiomes : exogénéité des prix et libre entrée. Ces deux axiomes complétés de l’axiome d’information parfaite et d’homogénéité-divisibilité vont déterminer la concurrence pure et parfaite.
[3] Cet économiste a la particularité dans ses divers ouvrages de ne parler que de concurrence parfaite et jamais de concurrence pure. Ces autres ouvrages sont généralement assez critiques sur l’utilisation par les économistes de la microéconomie en générale et des hypothèses de concurrence parfaite en particulier.
[4] Voir à ce propos les actes du Xe colloque de l’Association Charles Gide et la contribution de Pierre Dockès et Jean-Pierre Potier [2005]. Léon Walras et le Statut de la Concurrence : une Etude à partir des Eléments d’Economie Politique Pure.
[5] Cette approche provient certainement des travaux de Maury (1974) qui développe la même analyse.
[6] « La concurrence pure et parfaite constitue une authentique hypothèse d’école » (Lecaillon [1969], 165). Voir également à ce propos les écrits de Descamps (1997) ou Jouffroy (2000).
[7] Cette approche sera régulièrement reprise à partir des années 1970. Citons par exemple Gauthier : « Les hypothèses au modèle de concurrence pure et parfaite le rendent fort théorique, mais il présente l’avantage de servir de norme, de point de comparaison avec des modèles et des situations qui seront présentées par la suite » (Gauthier [1981], 221). Milleron : « Elle n’est, dans la réalité, jamais pleinement vérifiée, mais elle permet, dans un certain nombre de domaines, une première approche pas trop éloignée de la réalité » (Milleron [1979], 88). Plus proche de nous : « Toutes les tentatives historiques de faire respecter la concurrence pure et parfaite ont échoué à cause d’un certain nombre de difficultés rencontrées » (Lakebal [1997], 19).